Bien ou est ce cirdan sa fait quelque Heures que je l'attend

-Cirdan cirdan !!! *criege* , Cidran

-Je t'attend depuis quelque heures pour mon navire je t'attend, aller viens, ici tout de suite !!!

LE nain était sur la jetté et hurlait à pleins poumons, malheuresement pour lui, le camp, à l'occasion d'une visite du site de la futur cité elfe marin, seul Ourien, toujours en convalescence,se trouvait dans celui-çi.

Il attendit les vocifération du nain et s'indigna de l'entendre non seulement tutoyer Cirdan, mais surtout, oser, lui donner un ordre. Faisant fie de ses bandages, il prit son épée, jetta une grande cape de velour noir sur ses épaules.

Totalement enveloppé dans celle-çi, il s'approcha discretement de la jettée, par chance, le nain était de dos, il pu ainsi, grâce à la legendaire légereté des elfes qui lui permit de marcher sans être entendu, jusqu'au nain.

Arrivé tout à fait derriére le nain, avec une rapidité qui empéchait toute parade possible pour celui-çi, il l'immobilisa d'une clé de bras et passa son épée sous la gorge, près à la lui trancher au premier mouvement.

-Alors Mestre nain, on fait moins le malin maintenant. Vous n'avez pas d'école dans vos mines crasseuses ? On ne vous a peut-être jamais appris la politesse après tout. Alors je vais vous l'apprendre. Premiérement, on ne tutoie pas un Roi, et deuxièmement, jamais, absolument jamais, votre minable rang social ne peut vous permettre de donner un ordre au Roi Cirdan, je vous assure que la prochaine fois où je vous entendrais redonner un ordre à Cirdan, mon cousin, je m"assurerais personelement que vous ne puissiez JAMAIS le refaire.

-Oui oui mais cela fait quelque Heure que je l'attend ici, vous ne devriez pas vaguez a vos occupation mestre Ourïen, et mes mines elles sont belles en quoi vous déranges t-elle ?

Se delectant de l'état de panique du nain, Ourien dessera très légérement son épée de la gorge du nain.

-Il y a avec vos mines que j'ai combattu aussi bien aux côtés que contres avec un grand nombre des gens de votre race. Et mis à part peut-être les rois, et encore, ils sont tous impolies, et mal élevés, ce qui n'est pas bien génant quand il s'agit de se battre, mais vous apprendrez que lorsque l'on s'adresse à un Roi, JAMAIS on se permet de tels familiarités. Le Roi Cirdan à des milliers d'occupations plus importantes que de venir traiter avec un individu de votre sorte, alors s'il estime devoir vous faire patienter des jours entiers vous n'aurez qu'à prendre votre mal à patience, me suis-je bien fait comprendre ?

Valten était partit avec le peuple des elfes marins visiter le site de la futur cité elfe, mais une fois arrivé sur place, Cirdan se souvint alors de son rendez-vous avec le nain. Ne pouvant laisser son peuple dans un moment aussi important, Valten se proposa d'aller voir le nain et de lui faire prendre possetion de son bateau.

S'approchant sur un cheval, il avait entendue crier le nain et avait assisté de loi à toute la scéne, craignant de voir son cousin tuer le nain devant un tel déchainement d'impolitesses, il lança son cheval au galop et arriva sur place au moment ou Ourien commençé à liberer le nain.

-Ourien, mon cher cousin, vous n'auriez point due prendre de tels risques, vos blessures ne sont toujours pas remises.

Puis se tournant vers le nain, agenouillé, se massant la nuque:

-Maitre nain, pardonnez la fougue de mon cousin, mais il ne supporte pas les affronts contre la personne de Cirdan. Je me présente, Valten frére du Roi Cirdan et par ailleur son plus proche conseillé. Il m'a chargé de venir vous livrer votre navire. Comment vous appellez vous ? et quel était votre souverain avant de venir ici ?

-Bah euh Je m'apelle Gilles ou Suli, mon souverrain etait le maitre nain, Unoeseth

*Prend garde de Ourïen et salut émablement Valten*

-Bien merci de m'aceuillir Valten

sourit légérement de voir la peur que son cousin inspirait au nain.

-Unoeseth, il est possible que j'ai déja entendue ce nom durant mon sejour dans les Mines de Vermeil du grand roi de votre peuple, mais je n'en suis plus très sur. Enfin bon. Auriez -vous l'amabilité de bien vouloir me suivre, votre navire est un peu plus loin.

Ils reviennent vers le village de tentes, longent un peu la mer et arrivent à uen autre jettée, plus petite, au bout de laquel le bateau de Gille est amaré.



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hj : je te laisse faire toi même la description. peut-être serait-il judicieux de préciser l'arriver de tes hommes d'équipages, question de vraisemblabité

-Bien bien meric valten, mes hommes sont plus loin dans une jetée non loin d'ici et ils attendent, je les enverais cherche le navires, et mais nous pourrions faire un tour ensemble ?

Mes hommes arrivairent avec respect et saluére Valten, il prenent le bateau en main et avec soin...